Nathan mesure un mètre soixante-onze. Il est d'une carrure fine et l'on se demande où il a mis ses soixante-quinze kilos. Il est un jeune homme aux cheveux châtains, d'une coupe s'arrêtant au-dessous de sa nuque, ayant des mèches tombant sur le devant au niveau de ses yeux. Il a d'ailleurs un regard assorti au châtain de ses cheveux, étant d'un magnifique marron. Il a la peau pal. Il porte à l'oreille droite une boucle et un anneau sur le côté de celle-ci. Il porte toujours son collier autour du cou un rappel du passé. Toujours vêtu de marron pour le haut de ses vêtements et de gris pour ses pantalons, souvent des jeans de couleur gris et basket. Les chaussures ce n'est pas pour lui. Il porte aussi des chaînes accrochées à son pantalon. L'on le voit aussi avec des lunettes teinté, il est plus rare de le voir sans qu'avec.

Nathan est un surdoué et cela fait qu'il s'ennuie très rapidement. Il est quelqu'un de sociable, mais il sera toujours froid avec vous. Cela ne l'empêchera pas de vous parler et vous écoutez, il y a tout de même une chose il vous faudra être intéressant, car il se lasse vite. Il n'est pas doué en amitié, ou alors c'est que personne ne le comprend ou n'en a pris la peine. Il ne parle pas de lui de lui-même, pourtant il répondra à vos questions. Du genre à préférer le calme de la solitude au tumulte de la présence d'un petit ou grand nombre de personne autour de lui. C'est un travailleur acharné, cherchant toujours à s'occuper, même dans un travail qui l'ennuie. Mais toute chose à une fin, s'il s'ennuie il finira par tout plaquer et chercher autre chose. Nathan ne semble paisible que lorsqu'il écoute de la musique, du violon en particulier. Ou bien encore lorsqu'il se perd dans la lecture d'un livre. Les fleurs de cerisier semble aussi l'apaisait et lui donner un autre visage lorsqu'il les regarde. Il devient alors plus expressif et plus ouvert. Il montre alors ce que l'on ne voit pas en temps normal. Il est aussi très tenace, puis il est rancunier. Très rancunier, mieux vaut ne pas lui causer un quelconque souci. Il déteste les surnoms, donner lui un surnom et vous êtes fichu. Vous pourrez bien courir pour qu'il vous porte un quelconque intérêt. Il restera toujours dans la politesse, même dans l'énervement. Par contre, il frappe facilement. Je pense que c'est tout ce qu'il y a au sujet de sa psychologie.

Mon histoire ? Je la commence d'où ? Mon histoire n'a vraiment rien d'intéressant de toute façon, elle est tout à fait banale. Que ce soit dans ma vie humaine et dans ma vie actuelle. Rien de passionnant à raconter. Une vie banale, les cours, les sorties, les bêtises entre amis jusqu'à ma mort à l'âge de vingt ans. Je suis mort suite à une simple grippe qui s'est aggravé à cause de mon système immunitaire trop paresseux pour faire son travail correctement. Et merci par contre pour les faucheurs qui se sont intéressés à mon âme > >. Bavard comme pas d'eux et en prime à sortir des choses stupides, sans intérêt pour moi. Vraiment pas doué quoi. Ils étaient d'un ennuie que j'ai tiré à pile ou face et c'est ainsi que le paradis a été choisi. Me voici ange ..... Et quoi faire à partir de là, j'ai entendu parler de DSA et m'y suit rendu. Intégrant l'académie DSA Reaper durant cinq ans avant de devenir faucheur.

Les cinq années à l'académie furent assez rapide pour ne pas arriver à m'ennuie plus qu'un ennui commun que tous peuvent avoir pour certain cours. Me voici faucheur et me voici face à Undertaker Sparrow le responsable des faucheurs. Une personne impossible à oublier et qui a le don de m'ennuyer, d'être là où je ne voulais pas le voir et même de m'énerver. Qu'est-ce que j'en avais à faire que j'étais doué et vouer à devenir l'un des meilleurs. Même si je voyais la fierté qu'il avait que je sois un faucheur le travail a fini par me lasser. Il m'a fallu réfléchir à quoi faire et après cinq cents ans de travail en tant que faucheur je quitte ce travail pour devenir professeur à l'académie. J'ai pris le temps de réfléchir avant de faire ce soit pour nouveau travail. Undertaker bien entendant n'a pas apprécié la nouvelle, mais qu'est-ce que cela peut me faire après tout. Il a bien essayé tout pour que je reste, mais c'était peine perdue. Je fais ce que bon me semble et donc je deviens professeur. Il me reste plus qu'à voir le temps que cela mettra à me lasser, car il y a très peu de chance que ce travail, convienne jusqu'à la fin.